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Après une belle nuit chauffée dans un refuge perdu dans le Parc National de Gaspésie (et même un peu trop chauffée…), j’ai enfin repris le chemin du retour. Je vous passe les détails de cette longue randonnée matinale pour quitter le parc et repartir sur les routes. J’ai regagné les rives du Saint-Laurent pour aller à la découverte de l’extrême-est de la péninsule.

Sur cet itinéraire, d’après l’un des randonneurs rencontré quelques jours auparavant, il y a un rocher un peu étrange au bord de l’eau qui scrute les abords des falaises…

Rocher à tête d'indien
Le rocher, très justement nommé « Rocher à tête d’indien » surveille les côtes…

Mais mon objectif principal n’était pas de m’arrêter près de cette tête sculptée par l’eau et le vent, mais bien de découvrir le parc Forillon, un petit coin réputé pour sa faune foisonnante. A mon arrivée, une première bonne nouvelle : On offre l’accès au parc à tout le monde ! Et oui, ce jour là était férié au Canada puisque nous étions le 1er juillet, date de la fête nationale. Cette fête est d’ailleurs surnommée la fête des déménagements, en raison des bails, qui se terminent pour une majorité à cette date (pour éviter les désagréments causés aux enfants en période scolaire). Après avoir croisé un animal étrange ressemblant à un porc-épic puis quelques lapins, je me suis armé de mon sac à dos. La nuit tombait déjà et je comptais bien en profiter pour arpenter la forêt de nuit, chose que je n’ai pas vraiment eu l’occasion de faire dans les Monts Chic Choc.

Hauteurs de Forillon
Depuis les hauteurs du parc Forillon, les côtes au nord s’endormaient peu à peu…

Comme le titre de l’article le laisse deviner, je comptais partir à la rencontre des ours du parc, qui sont plus nombreux ici qu’ailleurs au Québec. Et la nuit était mon meilleur allié, puisque ces animaux sont très peureux et les randonneurs tiennent souvent à distance les ours, que ce soit en parlant ou simplement en marchant un peu trop bruyamment. J’ai arpenté les bois pendant plusieurs heures dans une obscurité partielle grâce à la lune et le temps clair qui dominaient la presque-île du Cap Bon-Ami (en couverture de cet article) : Cet endroit était vraiment sublime. Avez-vous déjà randonné en montagne, dans un lieu sauvage au milieu d’une vaste forêt qui longe de grandes falaises, contre lesquelles les vagues viennent s’abattre avec force ? Et bien pour moi c’était désormais chose faite et cette expérience éveille de nombreux sens ! Le bruit du vent dans les arbres et la résonance des vagues sur les parois rocheuses offrent un spectacle étonnant à nos esgourdes, tout comme celui offert par les odeurs de pins qui s’entremêlaient aux effluves maritimes.

Pourtant, malgré les empreintes, les fientes d’ours un peu partout et quelques heures de recherches, je n’ai pu approcher aucun ours. J’ai bien cru voir se dessiner quelques silhouettes lointaines, mais l’obscurité et mon imagination m’ont peut-être joué quelques tours, nous n’aurons jamais la réponse…Mais sans doute était-ce mieux, je ne serais peut-être pas là pour vous conter ce récit si j’avais croisé nos amis nordiques !

Après avoir observé la marée montante frapper le Cap Bon-Ami au loin, je suis redescendu à ma voiture pour une nouvelle nuit onirique avant de continuer ma route vers le Sud…

*Nom du morceau : Y’a trente marins sur la mer, issu de la compilation « Les Incontournables » du groupe Tri Yann.

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