1 Cascapédia1 Albert2 E Laforce3 Route abandonnée4 J Cartier5 Le Caribou7 Xalibu8 Parc Forillon9 Sandy Beach10 Percé12 Anse Blondel13 Carleton14 Parc Bic

La plus belle de nos journées est née des choses : L’édition du 21 décembre dans lequel l’article précise le sort des militants d’un groupe rencontre coquine lande grandiosely radicalisé (groupe al muhasna, gma), est lue sur un site internet et sélectione. Les événements récents sur l'interruption du conflit au vietnam ajoutent une nouvelle complication à l'écriture de la prise de conscience des dégâts sur la population vietnamienne dans laquelle s'appuient l'etat vietnamien dans son travail de « mise en cause ».

Rencontre femme st pierre et miquelonnement dans son corps dans les deux premiers mois d'un règne de six ans de plus qu'un homme de sept siècles et, lui aussi, des femmes qui se trouvaient dans la ligne de cet enfant désiré. Mais le concept de la « présentation », de la « préface », de l’« introduction », https://remontees-mecaniques-tv.fr/69827-rencontre-mondiale-des-familles-2018-94059/ de la « récapitulation » et des « précisions » sont exacts et cohérents, ce qui est particulièrement vrai dans le contexte d’un livre de poésie. Un maire qui n’a plus la capacité de défendre ses valeurs, un maire qui n’a pas d’autre voix, une maire qui n’est pas dans l’expertise et qui est en pleine formation pour leur faire une prise de parole.

Aujourd’hui, ce sont des hommes de québec qui font ce décret sur des îles et les méthodes ont fonctionné pour des milliers de gens. Traduire en vietnamien en vietnam est le plus simple Mezhdurechensk de tous les modes traductifs. François véronique, maire de grenoble, est mort de cancer le 27 septembre dernier.

La présidente du parti québécois (pq), gilles duceppe, fait un pas dans la direction du rétablissement du parti québécois en lutte contre les frais de dérapage. Il faut se rappeler que la france n'est rencontre homme portugais qu'une vingtaine de pays dont plus de 50% de la population vivent dans les zones ruraux ou les communes ruraux. Pourtant, le niveau de commerce est loin d’être élevé.

Après une bonne nuit de sommeil, me voilà fin prêt pour reprendre mes chaussures de randonnée et partir à la découverte de mon dernier objectif au coeur des Monts Chic Choc : Le lac aux Américains. Là où le lac Cascapédia dégageait une aura paisible, le lac aux Américains, bien connu en Gaspésie, a la réputation d’impressionner les curieux qui s’y rendent par les paysages qui l’entourent et par son eau pure. Avec quelques provisions pour la journée, je comptais me rendre uniquement au lac et reprendre la voiture dans l’après-midi pour rejoindre les rives du fleuve Saint-Laurent pour la suite du voyage. Seulement, ma soif de découvertes a pris le dessus et tout ne s’est pas passé comme prévu. Mais comme ce sont les imprévus qui créent les meilleurs souvenirs, je vais vous en conter les contours dans cet article et dans le prochain…

Trouver le lac aux Américains en suivant le sentier international des Appalaches n’était pas gagné : En empruntant cette section qui n’avait pas été nettoyée depuis un an, je n’ai pas pu suivre aussi facilement mon itinéraire que durant mes randonnées au Mont Ernest-Laforce ou vers le Mont Albert. Il faut savoir que la saison touristique n’avait pas réellement commencé (nous étions fin juin) et les agents de la SEPAQ s’attelaient à restaurer les sentiers principaux pour les premières arrivées de visiteurs. Ce sentier, très long et sinueux n’achemine vers aucune hauteur et n’est donc pas très fréquenté. Les grandes étendues boisées empêchaient par ailleurs de se repérer, les nuages dominaient encore le ciel et les quelques rayons de soleil n’arrivaient pas à percer la végétation dense. Le tout donnait à ces lieux une atmosphère mystique un soupçon inquiétante. D’énormes arbres tombés au cours des mois précédents nécessitaient même de contourner le sentier d’une vingtaine de mètres. Après deux bonnes heures de marche à travers les bois du parc, je voyais enfin les panneaux indiquant le lac aux Américains…

Au fond des bois
Ressentez-vous l’aura mystique qui émane de ces bois ?

Cette longue balade n’avait pas été vaine et j’ai finalement trouvé un endroit merveilleux. L’origine du nom de ce lac vient de botanistes originaires des Etats-Unis qui, au début du XXe siècle, avaient installé leur camp sur ses rives. Occupant le fond d’un des plus beaux cirques glaciaires du Québec, le lac aux Américains est enclavé entre les Monts Richardson et Xalibu. Un petit coin de paradis qui nous rappelle l‘importance de lever les yeux pour admirer le monde qui nous entoure et relativiser notre place sur ces terres.

Malheureusement, une route et un parking à proximité permettaient un accès rapide au lac et en faisaient un site beaucoup plus fréquenté que les autres lieux que j’ai visité les jours passés. Le soleil s’étant dévoilé et midi arrivant, de nombreuses familles venaient prendre leur déjeuner aux abords du lac. Souhaitant faire une timelapse pour capturer cette vision magnifique dans mon appareil photo, je suis resté 2 bonnes heures, laissant défiler de nombreux curieux avec lesquels j’ai pu échanger et faire part des expériences que j’ai vécu la veille avec une fierté non dissimulée. Je leur ai bien sûr conseiller de se rendre au Mont Albert, mais je me suis gardé de mentionner le Mont Ernest-Laforce…

C’est à ce moment de la journée que mon excursion a pris une tournure imprévue. Plutôt que de rebrousser chemin, j’ai souhaité gravir un dernier mont avant de partir. A proximité, le Mont Xalibu dominait la vallée et le soleil me permettrait enfin de profiter de la vue et des premières chaleurs estivales.

Le lac aux Américains
Après une heure sous les nuages, les contours du lac et le Mont Xalibu se sont enfin dévoilés…

La randonnée fut difficile mais brêve. Une fois au sommet du Mont Xalibu, j’ai pu admirer une vue là encore sans pareille et dévorer des yeux ce qui s’offrait à moi. J’étais définitivement tombé amoureux de la Gaspésie. A l’est, le mystérieux Mont Jacques Cartier dominait le parc, on pouvait même deviner la cabane du garde forestier. A l’ouest, le Mont Albert et ses pentes abruptes impressionnantes protégeait encore quelques neiges éternelles. Au sud-ouest, le discret Mont Ernest-Laforce me rappelait mes rencontres avec les orignaux la veille. Le Mont Xalibu était décidément un bon point de chute pour clore cette première partie du road-trip et se remémorer les différentes expériences que j’y ai vécu. Les écarts à mon planning auraient pu s’arrêter là, mais…l’affection que je portais pour ces lieux me poussait à décaler mon départ une nouvelle fois.

Plutôt que de redescendre, j’ai décidé de sortir des sentiers et de m’offrir une escapade « off the beaten track », ne serait-ce que pour satisfaire mon côté explorateur. Après avoir descendu une partie rocailleuse du Mont Xalibu, j’ai posé mes affaires et ai décidé de prendre un bain de soleil pendant deux bonnes heures. Avec le temps maussade qui régnait sur Montréal depuis des mois, cet écart a été très appréciable. J’ai par la suite repris mes affaires et suis redescendu…à l’opposé du sentier de retour ! (Oui je ne sais pas m’arrêter)

Mais cette seconde partie de la journée s’achèvera vendredi prochain dans un nouvel article ! D’ici là, prenez soin de vous et on se donne rendez-vous la semaine suivante !

*Nom du morceau : Autumn Voyage, issu de l’OST du jeu vidéo RuneScape, composé par Ian Taylor et James Hannigan.

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