Aujourd’hui, j’ai décidé de vous parler du Master, de vous faire part de mon regard, de mes peurs et attentes vis-à-vis du choix à faire entre le monde professionnel et la poursuite d’études, puisque j’y suis désormais confronté. Après une licence professionnelle, beaucoup d’étudiants se posent alors la question « Est-ce que je continue en Master ? ». La suite logique d’un cursus BTS + Licence pro, c’est l’entrée sur le marché professionnel, car ces formations sont prévues pour une insertion rapide avec un parcours étudiant court. Mais désormais, nous voulons tous nous rassurer en poursuivant vers un Master. Trois raisons simples qui reviennent très souvent :

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Et si vous êtes d’accord, pourquoi vous n’êtes pas à l’abri du risque de vous enlever du pays où vous êtes? Et quand elle l'avait rejointe, elle lui avait dit qu'elle https://t-trak.fr/62534-site-rencontre-rive-nord-43659/ était venue. L’événement fut lancé par la mère d’un jeune enfant.

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  • La peur d’entrer sur le marché (cruel) du travail
  • L’envie de continuer à baigner dans une fausse-insouciance prodiguée par les soirées, les sorties, les stages… Un cocon nous évitant de faire vraiment face à ce qui nous attend plus tard
  • Le doute quant à ses capacités professionnelles, qui va de pair avec la première raison, étant donné la forte demande et le taux de chômage

Tout ça fait que beaucoup décident de poursuivre en master. J’ai d’ailleurs longuement hésité, puisque je m’étais inscrit en Master Management des Projets Marketing à Niort, où j’avais été accepté. C’est au dernier moment que j’ai finalement refusé de continuer ma vie étudiante.

Ne diabolisons pas le Master, qui a encore de beaux jours devant lui
Ne diabolisons pas le Master, qui a encore de beaux jours devant lui (source Apec)

Et pourtant, aussi paradoxal que ça puisse paraître, on est loin de parer ces peurs en continuant ses études. Pire, on les repousse pour devoir les affronter avec encore plus de difficulté lorsqu’on y est confronté. Une preuve par les chiffres grâce à un article des Echos. On y voit clairement une baisse de l’insertion professionnelle post-Bac+5, en cause les impulsions gouvernementales visant à favoriser la poursuite d’études, augmentant ainsi le nombre de jeunes diplômés. On est en droit de se demander si les 3 raisons énoncées plus haut n’arrangent pas le gouvernement… Plus d’étudiants, moins de chômeurs ! Bien sûr, la raison la plus entendue est la fameuse réponse des DRH « Vous êtes trop diplômés, désolé ! » et concluant l’entretien avec une certaine ironie par un « Mais vu votre profil, vous allez vite trouver ! ».

Pour ma part, j’ai pour le moment décidé de réfléchir à ce que je souhaite faire dans un avenir proche. Plusieurs voix m’intéressent :

  • Monter une start-up de conseils et de formation en financement participatif pour les entreprises et structures publiques ;
  • Mettre de côté pour partir plusieurs mois en Nouvelle-Zélande afin de perfectionner mon anglais et découvrir une nouvelle culture ;
  • Trouver un CDD en communication/marketing dans le milieu culturel, de préférence sur Nantes ou Lyon.

Je n’ai plus qu’à rationaliser mes envies, peser le pour et le contre, et me lancer… Ce ne sont pas les étapes les plus simples !

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